Une nouvelle agression contre la Wallonie

Un nouveau drame économique et social frappe la région de Charleroi. Le haut fourneau du groupe sidérurgique Carsid, à l’arrêt depuis 2008, ne sera pas rallumé. 1000 travailleurs perdent ainsi leur emploi.  Parmi eux de nombreux jeunes travailleurs qui voient ainsi leur avenir professionnel bouché. Et au-delà des milliers d’autres emplois indirects…

Les communistes de Wallonie et de Bruxelles expriment leur totale solidarité avec ces travailleurs et leurs familles.

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Connaître la vérité

Julien LahautCe 9 mars 2012, c’est avec beaucoup d’intérêt que les communistes attendent le premier bilan des recherches réalisées par des historiens du CEGES pour connaître la vérité sur l’assassinat de Julien Lahaut, président du Parti Communiste de Belgique, commis en 1950. L’enquête judiciaire n’avait donné aucun résultat et l’affaire avait été classée sans suite en 1972. Avec d’autres démocrates, les communistes n’ont eu de cesse de réclamer la vérité sur ce crime politique.

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2012. On fait le point ?

En Belgique, aux crises économique, bancaire, de la dette… s’est ajoutée une crise politique et institutionnelle profonde. 530 jours après les élections législatives de juin 2010 provoquées (pour faire bref) par les libéraux flamands, un gouvernement a été péniblement formé sous la direction du président du Parti Socialiste, Elio Di Rupo. Aucun Etat au monde n’aurait sans doute résisté à une crise aussi longue. La Belgique semble avoir été regardée avec étonnement, ironie, moquerie, perplexité… par les Européens. Pourtant, le pays a continué à fonctionner non seulement avec un gouvernement dit d’affaires courantes, mais aussi et surtout grâce aux entités fédérées qui disposent de pouvoirs économiques et sociaux importants et de compétences essentielles, comme par exemple l’enseignement, la santé, le contrôle et le financement des municipalités…

 

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Inadmissible!

A l’usine Meister de Sprimont, les travailleurs se battent pour le maintien de leur emploi. Devant la situation bloquée, ils occupent leur entreprise.

Dans la nuit de dimanche, une milice envoyée par la direction afin de récupérer du matériel et des pièces a fait irruption à l’usine. Les nervis, parés de gilets pare-balles et armés de bâtons et de battes de baseball, ont agressé violemment des travailleurs.

Expulsés dans un premier temps par cette milice, les travailleurs ont bloqué le commando jusqu'à l'arrivée de la police. Après une simple vérification des identités, le commando a pu repartir sous la protection… de la police.

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