Avec les travailleurs dans la rue... la crise a bon dos!
Ce vendredi 2 décembre 2011, le Front des Gauches-Courcelles était aux côtés des travailleurs manifestant dans les rues de Bruxelles.
Avec les syndicats, le Front des Gauches-Courcelles exprimait son rejet d’une politique dite d’austérité, réclamée par le patronat et acceptée sans honte par le premier des socialistes. Vive Elio 1er, qui quitte sa vraie famille en souscrivant aux menées de ceux qui s’enrichissent au détriment du monde du travail.
Un accord budgétaire dit « équilibré » mais profondément en recul en terme de progrès et de justice sociale, préservant au maximum les hauts privilèges.
Que les travailleurs paient ! Monde du labeur, monde des petits indépendants et petits commerçants. Que les exclus, de plus en plus nombreux, paient ! Monde des chômeurs et des jeunes sans débouchés professionnels. Que les retraités et les déshérités paient ! Monde de ceux qui rament sans fin.
Voilà le modèle permettant à ceux qui se sont donné comme prétexte de sauver le royaume de créer un gouvernement « centre-centre », donc sans aucune dynamique d’avenir. Qui voulait réellement de ce gouvernement ? Les patrons et la droite ultralibérale revenant sans cesse à la charge : « attention à la crise ! ». Discours d’alarme relayé sans fin par les agences de notation, véritables signaux fous dans un système purement artificiel d’économie virtuelle et de spéculation, visant à créer le chaos pour imposer la loi des marchés permettant à quelques-uns de s’enrichir sur le dos de la plus grande masse. Avec comme alibi la pression à la rigueur sur les fonctions citoyennes de l’état (fonction publique).
Qui a accepté de vendre le monde du travail ? Un parti qui se veut de gauche mais qui n’a plus rien à voir avec la gauche. Voilà le constat.
Le Front des Gauches-Courcelles.